Récemment, Greg et sa petite amie Karine, animatrice sur M6, ont accordé une interview au magazine "Gala" pour parler de leur bonheur et de leur amour. Des photos magnifiques témoignent de leur grande complicité...
L'irrésistible bachelorette et le gagnant de la Star Ac, amoureux ? La nouvelle au début a fait sourire ... Aujourd'hui ils clouent le bec aux sceptiques d'un « Entre nous, c'est sérieux, on s'aime ! » assorti d'une sincérité qui force le respect. Il faut l'avouer, aussi improbable que cela puisse paraître, leur histoire, nous, on y croit !
Gala : Aujourd'hui, vous posez ensemble dans Gala. Est-ce une manière de mettre définitivement fin aux rumeurs qui sous-entendent que votre couple est faux ?
Grégory Lemarchal : Exactement ! Toutes ces rumeurs nous font du mal, d'autant plus qu'on est ensemble depuis bientôt un an. Comme auparavant on ne m'avait jamais vu au bras d'une demoiselle, ça a surpris. Mais je suis un homme amoureux, fier de l'être ! Et nos proches savent à quel point nous sommes épris l'un de l'autre ...
Karine Ferri : Ce qui est grave, c'est de tirer de telles conclusions en se basant sur des apparences. On me dit « pulpeuse et sexy ». Soit. Où est le problème ? Parce qu'on est sexy, on ne peut pas être simple au quotidien ? Finalement, dans l'esprit des gens, Grégory serait resté le « petit jeune homme » de la Star Ac et moi, une séductrice. Mais cela ne signifie pas que ce soit la réalité ! Comme toutes les femmes, j'aime plaire. Mais c'est dommage de s'arrêter à ces apparences trompeuses.
G.L. : le principal, comme je le répète à Karine, c'est que nous soyons sûrs de notre amour.
Gala : Vous n'habitez pas ensemble. Comment gérez-vous votre vie de couple ?
K .F. : Nous vivons à cinq minutes l'un de l'autre. C'était notre choix de départ : nous voulions préserver notre histoire à tout prix. Nous avons préféré éviter de nous montrer et navigue entre nos 2 appartements. Jusqu'au jour où notre relation a été découverte. A partir de là, on s'est dit : la machine est lancée, arrêtons de nous cacher ! Vivons enfin notre amour au grand jour ! Aujourd'hui, nous voulons sortir, faire du vélo, jouer au tennis, voyager, aller au restaurant, nous balader main dans la main ... Des choses « normales » en somme !
G. L : Pour ce qui est de s'installer ensemble, on gère au jour le jout. Attention : cela ne signifie pas qu'on risque de se séparer ! On est vraiment attachés l'un à l'autre. Mais on est jeunes (ils ont 24 ans tous les 2 ndlr) et on sait que beaucoup de couple ne résistent pas à la précipitation. Chez moi ; Karine est comme chez elle et le reste se fera peu à peu.
Gala : Cela signifie-t-il que vous envisagez de vous marier et de fonder une famille ?
G.L. Aujourd'hui, la question ne se pose pas. On s'aime, on est heureux. Et c'est là le principal. Mais si ça continue comme ça, j'envisage d'habiter avec Karine et nous ferons d'autres projets : mariage, enfants, tout est possible. Si je suis avec elle, ce n'est pas pour une amourette. Touts les deux, on espère que ça ira loin entre nous ...
Gala : Karine, on a dit récemment que Steven était revenu à Paris pour vous reconquérir ...
K.F. C'est faux ! Je n'ai plus de nouvelles de Steven depuis longtemps. On s'est quittés en bons termes, il vit à New York, moi à Paris. Il n'a jamais été question que l'on se remette ensemble.
G .L. Et en ce qui me concerne, je ne suis pas jaloux ! Avec Karine, on ne se cache rien donc il n'y a pas de problème.
Gala : Pourtant Steven et Grégory sont extrêmement différents. Comment expliquez-vous ce « grand écart » entre deux styles d'homme aussi opposés ?
K.F. Je ne fais pas de comparaison. J'ai vécu une belle histoire avec Steven et c'est du passé. Je l'ai toujours dit : je n'ai pas de type d'homme. Je trouve ça idiot : être amoureuse d'un physique, ça serait primaire ! Aujourd'hui, j'aime Grégory, j'adore sa simplicité, sa douceur, son côté rêveur, sa gentillesse ... (Grégory baisse les yeux, sourit et rougit). Je n'ai pas connu beaucoup d'hommes dans ma vie – contrairement aux rumeurs une fois de plus – mais ce que j'aime avant tout chez Greg, c'est sa générosité.
Gala : Et cela ne vous agace pas que sa mère appelle son fiston tous les 2 jours ?
K .F. (ils rient) Moi je viens du Sud alors l'esprit de famille m'est naturel ! Ma mère est aussi très présente et protectrice. Celle de Greg, Laurence, m'accepte parce que je le rends heureux.
G.L. Si ma mère m'appelle tous les 2 jours, c'est plutôt un progrès : avant c'était plusieurs fois par jour ! Elle et moi avons vécu des choses très fortes en émotion, certainement plus que dans une relation mère-fils lambda. Aujourd'hui, elle est heureuse de voir son fils amoureux et, effectivement, tout va bien. Avec Karine, on est très famille, je m'entends bien avec la sienne aussi : c'est l'éclate totale !
Gala : Gregory, qu'est ce que le fait d'être atteint de mucoviscidose change dans votre couple ?
G.L. Franchement rien. Ca se passe nickel. Dans mon cas, ce qui est parfois difficile, c'est de maintenir le moral à flot. Mais depuis que je suis amoureux, c'est un soutien supplémentaire très important ! Karine est présente pour me faire rire et m'épauler. Je voudrais seulement, dans le futur, me consacrer à faire connaître cette maladie par d'autres biais que par moi-même. On m'a trop associé à cette image et j'en ai souffert, parce que souhaite d'abord exister en tant qu'artiste.
Gala : Karine et pour vous, quelles sont les contraintes liées à la maladie de Grégory au quotidien ?
K .F. Il n'y en a pas ! Grégory s'assume très bien et nous sommes un couple « normal »
Gala : Quels sont vos projets pour finir l'été en beauté ?
G.L. On a déjà bien profité des vacances ! En juillet, on est partis une semaine en Corse. Mer turquoise, plages magnifiques ... On a fait du jet, visité des grottes et des criques. C'était détente ! Alors, en août, on repart simplement ensemble dans nos familles. On ne se quitte pas : trop dangereux ! Parce que j'admets : je ne suis pas jaloux, mais méfiant. Je fais confiance à Karine mais pas aux hommes qui lui tournent autour. Elle est mon trésor et j'y tiens !
L'irrésistible bachelorette et le gagnant de la Star Ac, amoureux ? La nouvelle au début a fait sourire ... Aujourd'hui ils clouent le bec aux sceptiques d'un « Entre nous, c'est sérieux, on s'aime ! » assorti d'une sincérité qui force le respect. Il faut l'avouer, aussi improbable que cela puisse paraître, leur histoire, nous, on y croit !
Gala : Aujourd'hui, vous posez ensemble dans Gala. Est-ce une manière de mettre définitivement fin aux rumeurs qui sous-entendent que votre couple est faux ?
Grégory Lemarchal : Exactement ! Toutes ces rumeurs nous font du mal, d'autant plus qu'on est ensemble depuis bientôt un an. Comme auparavant on ne m'avait jamais vu au bras d'une demoiselle, ça a surpris. Mais je suis un homme amoureux, fier de l'être ! Et nos proches savent à quel point nous sommes épris l'un de l'autre ...
Karine Ferri : Ce qui est grave, c'est de tirer de telles conclusions en se basant sur des apparences. On me dit « pulpeuse et sexy ». Soit. Où est le problème ? Parce qu'on est sexy, on ne peut pas être simple au quotidien ? Finalement, dans l'esprit des gens, Grégory serait resté le « petit jeune homme » de la Star Ac et moi, une séductrice. Mais cela ne signifie pas que ce soit la réalité ! Comme toutes les femmes, j'aime plaire. Mais c'est dommage de s'arrêter à ces apparences trompeuses.
G.L. : le principal, comme je le répète à Karine, c'est que nous soyons sûrs de notre amour.
Gala : Vous n'habitez pas ensemble. Comment gérez-vous votre vie de couple ?
K .F. : Nous vivons à cinq minutes l'un de l'autre. C'était notre choix de départ : nous voulions préserver notre histoire à tout prix. Nous avons préféré éviter de nous montrer et navigue entre nos 2 appartements. Jusqu'au jour où notre relation a été découverte. A partir de là, on s'est dit : la machine est lancée, arrêtons de nous cacher ! Vivons enfin notre amour au grand jour ! Aujourd'hui, nous voulons sortir, faire du vélo, jouer au tennis, voyager, aller au restaurant, nous balader main dans la main ... Des choses « normales » en somme !
G. L : Pour ce qui est de s'installer ensemble, on gère au jour le jout. Attention : cela ne signifie pas qu'on risque de se séparer ! On est vraiment attachés l'un à l'autre. Mais on est jeunes (ils ont 24 ans tous les 2 ndlr) et on sait que beaucoup de couple ne résistent pas à la précipitation. Chez moi ; Karine est comme chez elle et le reste se fera peu à peu.
Gala : Cela signifie-t-il que vous envisagez de vous marier et de fonder une famille ?
G.L. Aujourd'hui, la question ne se pose pas. On s'aime, on est heureux. Et c'est là le principal. Mais si ça continue comme ça, j'envisage d'habiter avec Karine et nous ferons d'autres projets : mariage, enfants, tout est possible. Si je suis avec elle, ce n'est pas pour une amourette. Touts les deux, on espère que ça ira loin entre nous ...
Gala : Karine, on a dit récemment que Steven était revenu à Paris pour vous reconquérir ...
K.F. C'est faux ! Je n'ai plus de nouvelles de Steven depuis longtemps. On s'est quittés en bons termes, il vit à New York, moi à Paris. Il n'a jamais été question que l'on se remette ensemble.
G .L. Et en ce qui me concerne, je ne suis pas jaloux ! Avec Karine, on ne se cache rien donc il n'y a pas de problème.
Gala : Pourtant Steven et Grégory sont extrêmement différents. Comment expliquez-vous ce « grand écart » entre deux styles d'homme aussi opposés ?
K.F. Je ne fais pas de comparaison. J'ai vécu une belle histoire avec Steven et c'est du passé. Je l'ai toujours dit : je n'ai pas de type d'homme. Je trouve ça idiot : être amoureuse d'un physique, ça serait primaire ! Aujourd'hui, j'aime Grégory, j'adore sa simplicité, sa douceur, son côté rêveur, sa gentillesse ... (Grégory baisse les yeux, sourit et rougit). Je n'ai pas connu beaucoup d'hommes dans ma vie – contrairement aux rumeurs une fois de plus – mais ce que j'aime avant tout chez Greg, c'est sa générosité.
Gala : Et cela ne vous agace pas que sa mère appelle son fiston tous les 2 jours ?
K .F. (ils rient) Moi je viens du Sud alors l'esprit de famille m'est naturel ! Ma mère est aussi très présente et protectrice. Celle de Greg, Laurence, m'accepte parce que je le rends heureux.
G.L. Si ma mère m'appelle tous les 2 jours, c'est plutôt un progrès : avant c'était plusieurs fois par jour ! Elle et moi avons vécu des choses très fortes en émotion, certainement plus que dans une relation mère-fils lambda. Aujourd'hui, elle est heureuse de voir son fils amoureux et, effectivement, tout va bien. Avec Karine, on est très famille, je m'entends bien avec la sienne aussi : c'est l'éclate totale !
Gala : Gregory, qu'est ce que le fait d'être atteint de mucoviscidose change dans votre couple ?
G.L. Franchement rien. Ca se passe nickel. Dans mon cas, ce qui est parfois difficile, c'est de maintenir le moral à flot. Mais depuis que je suis amoureux, c'est un soutien supplémentaire très important ! Karine est présente pour me faire rire et m'épauler. Je voudrais seulement, dans le futur, me consacrer à faire connaître cette maladie par d'autres biais que par moi-même. On m'a trop associé à cette image et j'en ai souffert, parce que souhaite d'abord exister en tant qu'artiste.
Gala : Karine et pour vous, quelles sont les contraintes liées à la maladie de Grégory au quotidien ?
K .F. Il n'y en a pas ! Grégory s'assume très bien et nous sommes un couple « normal »
Gala : Quels sont vos projets pour finir l'été en beauté ?
G.L. On a déjà bien profité des vacances ! En juillet, on est partis une semaine en Corse. Mer turquoise, plages magnifiques ... On a fait du jet, visité des grottes et des criques. C'était détente ! Alors, en août, on repart simplement ensemble dans nos familles. On ne se quitte pas : trop dangereux ! Parce que j'admets : je ne suis pas jaloux, mais méfiant. Je fais confiance à Karine mais pas aux hommes qui lui tournent autour. Elle est mon trésor et j'y tiens !